Grâce à son patrimoine exceptionnel et la variété de ses destinations, La France est la 1ere destination touristique mondiale avec près de 90 millions de visiteurs étrangers. Le tourisme représente 7 % du PIB et 2 millions d’emplois directs et indirects : une progression continue qui profite à l’ensemble des modes d’hébergement et particulièrement aux résidences de tourisme. Grâce à la qualité des services offerts et aux conditions tarifaires des séjours, l’hébergement en résidences de tourisme est plébiscité de plus en plus par les touristes français et étrangers. Avec un taux moyen d’occupation annuel de 63% toutes destinations confondues, la résidence de tourisme contribue donc fortement au développement touristique de très nombreux territoires et à leur internationalisation, avec un taux de clientèle étrangère de 25%.
La crise sanitaire actuelle remet-elle en cause l’intérêt de ce type d’investissement sur le long terme ?
Des réservations portées par la demande intérieure
Le Premier ministre a annoncé récemment que les français pourront se déplacer sur le territoire national et en outre-mer lors de leurs congés estivaux 2020. Une nouvelle qui a apporté une éclaircie non négligeable dans la morosité actuelle du secteur. En sortie de confinement, le désir de vacances et d’espaces verts est particulièrement marqué, les consultations de sites de réservations touristiques ont d’ailleurs battu des records lors du premier week-end de déconfinement de la population. Dans ce contexte, il y a fort à parier que les résidences de tourisme soient les grandes gagnantes des destinations de nos compatriotes à la recherche de lieux de vacances agréables et permettant de respecter les gestes barrières. Les résidences de tourisme proposent en effet des logements individuels meublés et équipés notamment de cuisines aménagées, permettant d’éviter la sur-fréquentation des lieux de restauration collectifs ou encore de pallier l’absence de services de restauration si les restaurants ne pouvaient pas fonctionner ou uniquement en mode dégradé. Les français s’orienteront donc vraisemblablement en 2020 vers ce type d’hébergement répondant justement à ces 2 critères, et augurant ainsi de bons taux de remplissage.
Certes, les visiteurs étrangers risquent de manquer à l’appel cet été, mais cette absence sera compensée par la demande domestique en fort hausse, la part de français partant habituellement à l’étranger devant se tourner vers l’offre touristique nationale. Quant à la demande européenne, elle pourrait ne pas être totalement absente, certains pays envisageant déjà la réouverture de leurs frontières.
Un plan de sauvetage du tourisme gouvernemental
Outre l’autorisation de déplacements estivaux accordée aux français afin de soutenir ce secteur essentiel à l’économie du pays, le gouvernement a également annoncé le 14 mai 2020 un plan de sauvetage du tourisme hexagonal.
Afin de soutenir les gestionnaires, l’Etat a déployé une enveloppe de 18 milliards d’euros pour assurer leurs recettes d’exploitation et leurs fonds de trésorerie avec notamment un accès au fonds de solidarité élargi, des dispositifs de prêts renforcés, une exonération des charges – particulièrement des cotisations sociales patronales tant que la fermeture de l’entreprise durera -, et la possibilité de recourir au chômage partiel jusque fin septembre, voire plus si le reprise est trop lente.
Enfin, un remboursement intégral des Français est promis en cas d’annulation de leur réservation liée au Covid, ce qui devrait rassurer les touristes dans leur recherche de destination estivale.
Un « plan Marshall » européen
Au-delà des mesures nationales, un plan de soutien européen devrait voir le jour à la rentrée prochaine. Qualifié de « plan Marshall » par Thierry Breton, commissaire européen pour le marché intérieur, ce fond de relance gigantesque pourrait représenter 1600 milliards d’euros, soit 10% du PIB européen. En effet, le tourisme contribue à plus de 10% du PIB de l’Union et représente 12% de l’emploi dans l’Union (soit 27 millions d’emplois directs et indirects) et 3 millions d’entreprises dont 90% sont des PME, parfois très petites. L’Europe représente 50% du marché mondial du tourisme en termes d’arrivées, il ne fait donc aucun doute que c’est un secteur économique européen très important qu’il conviendra de soutenir en cette sortie de crise afin que l’Europe reste toujours aussi attractive pour les touristes internationaux à l’avenir.
En conséquence, compte tenu de la demande intérieure forte sur les destinations touristiques hexagonales, de la réponse qu’offrent les résidences de tourisme aux contraintes actuelles, des mesures gouvernementales visant à protéger les propriétaires bailleurs mais également des plans de sauvegarde nationaux et européens, le secteur du tourisme reste une vraie opportunité pour les investisseurs et pourrait même se révéler le grand gagnant de cette période chahutée.
La Pinède, résidence de tourisme de haut standing aux Sables d’Olonne
La Vendée, avec 4 millions de visiteurs annuels, se classe dans le Top 5 des départements touristiques français avec une forte contribution des Sables d’Olonne, 1ère destination vendéenne : référence mondiale du nautisme et abritant l’une des 10 plus belles plages françaises, la commune accueille chaque année plus de 80 000 touristes.
Située dans une zone préservée au cœur d’un parc sécurisé de 2,3 hectares, proche d’une belle forêt de pins et des marais salants et à deux pas de l’océan, la résidence de tourisme La Pinède est un ensemble de 54 villas individuelles haut standing de 4 à 5 pièces allant de 69 m² à 93 m². Chaque villa bénéficie d’un espace extérieur soigné pour le plus grand confort de tous : un jardin délimité par des murs ou des séparations végétales ainsi qu’une piscine privative chauffée de 6 m x 3 m et d’une profondeur de 1,40 m. Un bien idéal pour un investissement en résidence de tourisme alliant performance du rendement et valorisation patrimoniale.
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